[spacer color=”264C84″ icon=”Select a Icon”]Titre : Green Hell
Genre : jeu de survie en milieu tropical. Craft sandbox ou histoire.
Français : textes
Développeur : Creepy Jar
Éditeur : Creepy Jar
Date de parution : 29 août 2018[spacer color=”264C84″ icon=”Select a Icon”]
Green Hell est un jeu de survie vous proposant une histoire (non-achevée à ce jour) et un mode bac à sable, dans un milieu tropical très réaliste. Enfin je dis ça, je n’y suis jamais allé, mais Green Hell pose les bases: j’ai transpiré en jouant et j’ai même été piqué par des moustiques gros comme ma main. Difficile de parler d’un jeu qui est en pleine évolution. Le gros du jeu est là, sauf le mode histoire qui n’en est qu’à sa version teaser (j’ai vraiment hâte de connaître la suite), mais je vais quand même vous raconter un peu. Quoiqu’il en soit, je peux d’ores et déjà vous dire que Green Hell est ultra prometteur.
Voici un petit picthounet du mode histoire. Je le rappelle, vous ne pourrez pas la terminer tout de suite, le jeu vous invitant à poursuivre l’expérience avec le mode “bac-à-sable”. Vous voilà arrivé en Amazonie avec votre épouse, ethnologue qui doit tenter de rencontrer une tribu sauvage du coin. Personne auparavant n’est jamais revenu vraiment indemne de là, mais il semblerait que votre compagne soit plutôt confiante, limite elle se la pète. Vous, vous êtes là pour prendre des photos, l’assister à distance, préparer la popote: bref, le mec au foyer quoi. Alors vous échangez avec elle par radio interposée, tout va bien, hahaha, hihihi tout est joli quand un jour… elle vous appelle en pleurs… à l’aide !
Eh ! J’ai pas bien teasé là ? 20 ans que je tease moi ! Bon. Plus sérieusement, cette intro à l’histoire sert de tutoriel très bien fait car bien évidemment, le but du bin’s, c’est de crafter et de survivre. A partir de ce moment là, pour cette version anticipée, vous basculez dans le mode bac à sable pour faire joujou avec cette nature très dangereuse. Tout d’abord Green Hell est magnifique. La jungle, la météo et ses effets, les objets, votre carnet de note trop stylé, etc… franchement, je me suis cru dans Star Wars Battlefront 2. Concernant le craft, je l’ai trouvé assez différent des autres jeux. Dans la mécanique j’entends. C’est perturbant au début, et après on déroule comme un chef. Donc vous allez cueillir et fabriquer, ok; mais il y a aussi une gestion corporelle. Il va falloir surveiller votre état. Pour ce faire votre femme, avant de s’être fait choper par on ne sait qui finalement, vous a offert une jolie montre connectée qui peut presque tout savoir de vous. Enfin de votre corps. Et il va falloir aussi surveiller si vous n’êtes pas coupé, brûlé ou si vous n’avez pas de vieilles sangsues collées à vos membres. Brrr! Moi qui n’aime pas les bêtes, j’ai été servi. Autant un gros serpatasse ne me fait ni chaud ni froid dans un jeu, mais ce genre de truc tout… brrr! J’en ai la chair de poule rien que de l’écrire… ( Et elle est comment, la bêïte?)
Voilà tout ça dans un monde chargé d’humidité, d’une faune pas sympathique du tout, dans la chaleur, la faim et la soif. Parlons de la soif. Buvez dans un ruisseau, et vous allez voir l’état de votre avatar. Je ne veux pas être trop scato, mais chez moi on a appelle ça la chiasse. Donc un conseil, ne crapahutez pas comme un taré de suite, préparez vous, petit à petit. Profitez en aussi pour contempler ces merveilleux graphismes. Green Hell est à mon avis, une future référence en matière de jeu de survie. On vous en reparlera sûrement plus tard pour la release.