[spacer color=”264C84″ icon=”fa-gamepad”]Titre: Max: the curse of Brotherhood
Genre: Aventure, Plateformes, Casse-tête
Français: textes
Développeurs: Flashbulb ApS.
Editeurs: Flashbulb ApS. & Wired Production
Support de test: version Nintendo Switch envoyée par l’éditeur[spacer color=”264C84″ icon=”fa-gamepad”]
C’est l’histoire de Max qui part chercher son frère dans un monde parallèle et fantastique parsemé d’embûches et d’énigmes plutôt coriaces. On peut résumer Max: the curse of Brotherhood ainsi.
En effet, Max a tellement voulu que son frère soit loin, car ce dernier n’arrêtait pas de lui péter ses jouets, qu’une faille s’est ouverte et a embarqué le frérot loin, très loin. En même temps, suffisait de demander, hein. Max est tranquille désormais. Voilà, c’est fini ! Maiiis nooon. Il a des remords Maxou, et il va vite se jeter dans la faille encore ouverte pour venir en aide à son frérot.
Nous goûtons ici à la version Nintendo Switch de Max: the curse of Brotherhood, sortie il y a quelques temps déjà, d’abord en 2014 sur XBOX One puis sur 360, PC, et enfin PS4 en 2017. Max: the curse of Brotherhood est tout à fait adapté à notre nouvelle petite console de Nintendo. Cependant j’émettrai un bémol selon si on joue en mode embarqué ou TV. On y reviendra plus tard. Le gameplay de Max: the curse of Brotherhood reste le même: c’est un jeu de plateforme, on saute de roche en roche, liane en liane… et ceci avec l’aide d’un marqueur magique que vous aura fourni un magicien en tout début de partie. Grâce à ce marqueur magique, vous pourrez construire des plateformes, créer des lianes, bref modeler le décors non pas à votre guise, car c’est très guidé dans le scénario, mais vous aurez suffisamment de liberté pour créer à la bonne dimension chaque élément. Le principe est très sympa, et petit plus de la Switch, vous pouvez, en mode embarqué, utiliser l’écran tactile. Personnellement, je suis vite repassé à l’utilisation des manettes: même si l’utilisation reste technique, je l’ai trouvé plus adaptée, mais bon, sachez qu’il est tout à fait possible de gérer ça avec le doigt.
Voilà les rouages présentés, rien de bien compliqué. Je le répète: on court, on saute, on modèle l’environnement avec notre marqueur magique et l’histoire se déroule. Hé! Pas si vite: c’est sans compter sur les puzzles et énigmes aux niveaux assez relevés de Max: the curse of Brotherhood ! Très vite dans le jeu, vous serez confronté au grattage de la tête, morsure des lèvres, froncement de sourcils car il va falloir trouver comment s’en sortir. Je dois bien avouer que j’ai cherché longtemps, dès les premières heures. Ces énigmes seront présentes dans des moments que je vais nommer “arrêtés” (vous avez le temps de réfléchir) et des moments d’action avec un monstre collé aux fesses, par exemple. A ce moment là, le temps semble passer au ralenti pour vous permettre de modeler le paysage. Dextérité mon amour… Max: the curse of Brotherhood est mignon, et attachant, mais ne croyez pas vous en sortir sans réfléchir.
Graphiquement, Max: the curse of Brotherhood est plutôt très joli. Chaque environnement est agréable à l’œil, et j’en viens à mon bémol. En jouant en mode embarqué de la Switch, votre Maxou, par moment, vous paraîtra très petit. Trop petit même. Branché sur la télé, cet effet s’estompe bien sûr. Toutefois, vu que la Nintendo Switch est surtout achetée pour son côté nomade, ce n’est pas perturbant du tout. Niveau sonore, la musique et les sons sont tout à fait corrects, et collent parfaitement à l’ambiance.
Max: the curse of Brotherhood est un bon petit jeu de plateforme, exigeant, facile à prendre en main, avec une trame passionnante et des énigmes bien ficelées, qui vous prendra une bonne dizaine d’heures de votre temps. Notez que le jeu n’est pas très cher en plus, on le trouve actuellement sur le Nintendo e-shop aux alentours de 15 euros.
https://www.youtube.com/watch?v=_d1Ms90CrMQ